La solution "Cloud for Sustainability" de Microsoft peut vous aider à atteindre le "net zero".

Alors que la digitalisation de l’industrie se poursuit, l’intelligence artificielle offre de réelles opportunités. Aujourd’hui, les données permettent une maîtrise des dépenses énergétiques et constituent un levier de compétitivité.

La durabilité n'est pas seulement un objectif à atteindre, mais une voie essentielle pour assurer la continuité de la société et des entreprises.

Grâce à l’Industrie 4.0 et ses outils digitaux, il est possible de piloter efficacement une stratégie de réduction de ses impacts environnementaux.

La crise sanitaire et la nécessité de maintenir l’activité à distance a agi comme accélérateur du sens de l’Histoire, révélant l’inéluctabilité de la digitalisation des échanges.

La responsabilité sociétale des entreprises fait aujourd’hui partie des priorités de l’Industrie au même titre que la nécessité de gagner en agilité et en visibilité. Or la démarche et les outils utilisés pour construire des supply chain intelligentes sont aussi opportuns pour renforcer les engagements RSE des acteurs industriels. Explications.

La responsabilité sociale, sociétale et environnementale des entreprises (RSE) comprend un volet humain, central, dans cette démarche globale d’amélioration des pratiques et de développement durable. Dans ce cadre, l’industrie 4.0, et l’ensemble des outils digitaux qui la composent, apportent des solutions concrètes aux problématiques liées à la qualité de vie au travail (QVT).

Si les outils digitaux sont vecteurs d’optimisation des consommations et donc, de réduction des émissions de CO2 sur l’ensemble de la chaîne de valeur, leur empreinte n’est pour autant pas neutre. Alors comment réellement réduire les impacts de la production industrielle ? Focus sur les bonus et les malus du digital ainsi que les outils et les bonnes pratiques à privilégier.

Les outils digitaux de l’Industrie 4.0 fournissent des données utiles au suivi de la performance des chaînes de production. Ce sont autant de leviers d’optimisation au regard des axes de progrès définis par la RSE : sourcing, consommation, émissions, déchets, inclusion, sécurité…Aussi, quels indicateurs privilégier dans le secteur industriel via quel outil ?

Si l'Europe veut atteindre ses objectifs climatiques, elle doit décarboniser son secteur manufacturier. Environ 12 % des émissions de gaz à effet de serre du territoire proviennent des activités manufacturières. L'électrification et la décarbonisation de la production de chaleur sont parmi les solutions les plus fréquemment évoquées, mais les technologies numériques peuvent également contribuer à rendre les usines plus vertes tout en améliorant les performances du secteur dans son ensemble.

L’adoption des principes de l’industrie 4.0 s’impose progressivement comme un impératif dans de nombreux secteurs industriels. Mais la réussite de cette mutation technologique dépendra de la façon dont elle tiendra compte de deux défis majeurs de nos sociétés : la crise environnementale et la transformation numérique. Souvent conçus comme distincts voire aux enjeux opposés, ces deux défis sont en réalité complémentaires pour les industriels. L’industrie 4.0 est en effet un exemple de la façon dont le numérique permet à nos économies de faire face aux enjeux environnementaux du XXIe siècle.

Le trafic de l'aviation commerciale étant soumis aux caprices de l'économie et de la santé publique, il est urgent de procéder à une transformation numérique de l'ingénierie, de la fabrication et de la gestion du cycle de vie des aéronefs. Le passage au numérique permettra de concevoir mieux, plus vite et à moindre coût, tout en assurant une qualité et une maintenance excellentes. Il favorisera également l'émergence de conceptions et de solutions permettant de réduire l'empreinte environnementale des avions à l'avenir.

Digitalized, automated and optimized: Industry 4.0 is a manufacturing model that is meant to address all the new challenges that will define our economies in the coming decades. That means it is impossible to overlook environmental questions and their economic corollary, namely, the circular economy.